Nicolas Bouzou était l’invité de Général Finances
Général Finances, leader incontesté de la gestion patrimoniale dans les Pyrénées-Orientales multiplie les initiatives pour être toujours plus actif et présent dans les foyers du département.
Le 13 juin dernier, Général Finances a une fois encore souhaité partager avec ses clients un moment de réflexion sur notre environnement économique, qui n’excluait pas la convivialité. Le dirigeant du cabinet de patrimoine perpignanais avait donc invité un économiste bien connu des Français, Nicolas Bouzou. Ce dernier intervient régulièrement sur les médias, il est également dirigeant-fondateur d’Astéres, institut d’études qui travaille pour les collectivités, les chefs d’entreprise et les hommes politiques de premier plan.
Son discours s’est articulé à partir d’une approche originale : dans un monde d’incertitudes, il convient de savoir prendre les bonnes décisions. Pour cela, plutôt que de réagir aux nombreuses informations qui affluent, vraies et fausses, Nicolas Bouzou préfère mettre en avant des certitudes, des faits sur lesquels il est possible de s’appuyer pour raisonner de façon rationnelle.
Extraits choisis
« La première chose dont on soit certain aujourd’hui est que nous sommes passés d’un monde gouverné par l’économie à un monde gouverné par la géopolitique. Depuis 2022, exactement. » Terminée l’ère de « la mondialisation heureuse » et du consensus commercial mondial, voici l’ère des passions, d’une certaine irrationnalité, ou du repli sur soi. Notre environnement est devenu plus dur, plus conflictuel, avec une tension nouvelle entre la Chine et les États-Unis. Ceci est dû en grande partie à la fin de l’ouverture de la Chine décidée lors du Congrès du parti communiste de 2022. Le contrat social chinois a volé en éclat du fait de la gestion de la crise du Covid, les dirigeants du PCC ont considéré que l’enrichissement des Chinois « faisait courir au pays un risque de japonisation, de démocratisation avec des empires dans l’empire ».
Seconde certitude, la grande vague de l’intelligence artificielle « ne va pas supprimer le travail, mais va le modifier… Les premiers qui sauront utiliser l’IA et accompagner cette transition pour se servir intelligemment de cette technologie seront les leaders de demain. Là se trouve le véritable enjeu. » Dans ce domaine, Nicolas Bouzou a mis en avant la domination américaine face au rôle de régulateur que s’est choisi l’Union Européenne. Ceci indique que « l’U.E. a choisi la protection face à la puissance ».
Troisième fait certain, la démographie et le vieillissement de la population doivent changer le regard que l’on porte sur l’économie. Il y a vingt ou trente ans, on créait des produits pour cibler les seniors, aujourd’hui, la stratégie des entreprises et des politiques doit se concentrer sur les moyens de cibler les jeunes. Un changement durable et inéluctable pour les années à venir. Enfin, nos déficits publics sont extrêmement élevés et ne s’améliorent pas. « La raison fondamentale est que nous disposons d’un système de protection fantastique, et totalement surdimensionné par rapport à ce que notre économie est capable de générer en ressources ». Ce fait implique que nous devrons faire face tôt ou tard à une forme de rareté de l’argent public. Face à ces réalités, qui ne sont ni des on-dit, ni des fantasmes, le pessimisme ou l’optimisme béat ne sont pas de mise, « Depuis Malthus, l’histoire nous rappelle que les spécialistes de mauvais augure ont toujours eu tort ».
« Les personnalités qui font des pronostics très sombres ont l’air lucide, il est de bon ton de dire que la civilisation occidentale est en train de s’écrouler, ceux qui les écoutent se disent que ces personnes doivent détenir des informations auxquelles ils n’ont pas accès. On n’entend personne mettre en avant les 1,5 million d’emplois que l’économie française a créés depuis 2019, ou dire que la France est le pays développé à l’empreinte carbone la plus faible au monde, que les émissions des pays développés sont revenues au niveau des années 70, que nous avons en main les solutions pour la décarbonation… ».
Le rythme des changements est peut-être très lent, mais l’espérance est toujours une option crédible pour la France.
Les performances OMEGA
Général Finances dispose d’une proposition unique dans le département, en tant qu’une des meilleures agences nationales partenaire du groupe européen financier ODDO BHF.
Une offre spécifique de produits structurés performants est mise en place de façon exclusive pour Général Finances, avec d’excellentes protections.
Quelques exemples parmi les derniers programmes en rappel 1 an clôturés en 2024 :
Omega 18 action Mercedes 8,2 %
Omega 19 action Crédit Agricole 12 %
Omega 20 action Klepierre 10 %
Omega 21 action Crédit Agricole 11,3 %
Le patrimoine, une affaire de spécialistes
Général Finances a décidé d’inviter pour ses clients la crème des économistes français, que vous connaissez de par leurs interventions publiques dans « C dans l’air », la matinale de France Inter, Europe 1, les Échos, et bien d’autres médias. Ces conférenciers d’exception permettent d’approcher le monde économique d’aujourd’hui, ses failles et ses opportunités, de voir autrement les évènements de l’actualité à travers leurs interventions. Les clients de Général Finances ont ensuite l’opportunité d’échanger directement avec eux. De son côté, Général Finances s’appuie sur son expérience, et sa connaissance du terrain pour faire preuve d’originalité et d’efficacité. L’entreprise va fêter ses vingt ans cette année et poursuit son développement grâce à la confiance de ses clients, mais aussi à la performance des produits qu’elle propose en fonction des profils et des objectifs recherchés.Si Général Finances est un acteur économique local, il propose depuis des années des investissements sur des actifs répartis géographiquement en France et dans le monde, permettant ainsi de répartir et minimiser les risques et de profiter de nouvelles opportunités.